Burkina/Elections: une loi votée en faveur des candidatures féminines
Source: Wakatsera
Les députés ont voté, ce mercredi 22 janvier 2020, une loi qui milite en faveur des candidatures féminines pour les élections législatives et municipales au Burkina Faso.
Les élus de la Représentation nationale ont adopté à 120 voix pour et 1 contre, le projet de loi portant fixation des quotas et modalités de positionnement des candidates ou des candidats aux élections législatives et municipales au Burkina Faso.
La Commission du genre, de l’action sociale et de la santé (CGASS) ayant porté ledit projet de loi, «est convaincue que (son) adoption permettra d’une part, de corriger les insuffisances de la loi en vigueur et d’autre part, de promouvoir une plus grande participation politique des hommes et des femmes, tout en améliorant leurs taux de représentation dans les instances élues», a affirmé le rapporteur, la député Mamata Tiendrébéogo.
Dans les débats au fond, certains élus ont salué cette initiative qui va «corriger une inégalité qui existe». Pour d’autres, le militantisme dans un parti politique est une «liberté fondamentale». Ces derniers pensent que les femmes elles-mêmes devraient s’affirmer de plus en plus par leur engagement politique à même de convaincre les dirigeants des partis et formations politiques. «Les partis ne sont pas en faute si le quota n’est pas respecté», a dit le député Kuiliga Nikièma du groupe parlementaire Union pour le Progrès et le Changement (UPC).
Cliquez ici pour lire l’article publié par Wakatsera le 22 janvier 2020.
Les députés ont voté, ce mercredi 22 janvier 2020, une loi qui milite en faveur des candidatures féminines pour les élections législatives et municipales au Burkina Faso.
Les élus de la Représentation nationale ont adopté à 120 voix pour et 1 contre, le projet de loi portant fixation des quotas et modalités de positionnement des candidates ou des candidats aux élections législatives et municipales au Burkina Faso.
La Commission du genre, de l’action sociale et de la santé (CGASS) ayant porté ledit projet de loi, «est convaincue que (son) adoption permettra d’une part, de corriger les insuffisances de la loi en vigueur et d’autre part, de promouvoir une plus grande participation politique des hommes et des femmes, tout en améliorant leurs taux de représentation dans les instances élues», a affirmé le rapporteur, la député Mamata Tiendrébéogo.
Dans les débats au fond, certains élus ont salué cette initiative qui va «corriger une inégalité qui existe». Pour d’autres, le militantisme dans un parti politique est une «liberté fondamentale». Ces derniers pensent que les femmes elles-mêmes devraient s’affirmer de plus en plus par leur engagement politique à même de convaincre les dirigeants des partis et formations politiques. «Les partis ne sont pas en faute si le quota n’est pas respecté», a dit le député Kuiliga Nikièma du groupe parlementaire Union pour le Progrès et le Changement (UPC).
Cliquez ici pour lire l’article publié par Wakatsera le 22 janvier 2020.